La méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau

J’ai une forte activité sur facebook. J’avoue qu’il y a quelques années les blagues sur face de bouc me faisaient bien rire et je ne voulais pas surfer sur cette vague. Et je me suis dit un jour pourquoi pas… Depuis je deviens de plus en plus active sur ce réseau parce que j’y ai trouvé des amis d’enfance, de lycée que je n’avais pas vu depuis un siècle (le dernier) et nous nous retrouvons avec les mêmes passions et actions pour la terre et l’éveil des conscience…

Alors je me suis dit qu’il fallait que je recense les articles de presse qui sortent dans la presse et parlent de ces ouvertures de conscience et de ce mouvement de fond qui va transformer le monde dans les années qui arrivent.

Voici un article de Nicolas Revoy, directeur de la rédaction du Journal de la Science

amygdale cerveau
Selon une étude américaine, la pratique régulière de la méditation modifie l’activité de l’amygdale (en rouge ci-dessus), cette zone du cerveau notamment impliquée dans la peur, le stress et d’anxiété. Crédits : Life Science Databases(LSDB)
Une étude américaine montre que la pratique régulière de la méditation modifie de façon durable le fonctionnement du cerveau.

S’engager dans une pratique régulière de la méditation modifie durablement le fonctionnement du cerveau, selon une étude menée par par des chercheurs de l’Hôpital Général du Massachusets (Boston, Etats-Unis), et publiée le 1er novembre 2012 dans la revue Frontiers in Human Neuroscience.

Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d’une personne en train de méditer a un fonctionnement différent de celui habituel, cette étude vient aujourd’hui montrer que la méditation peut aussi engendrer des modifications neuronales durables, c’est-à-dire subsistant après l’activité de méditation proprement dite.

Plus encore, ces modifications durables semblent pouvoir apparaître assez rapidement. En effet, l’étude menée par les chercheurs de l’Hôpital Général du Massachusets a porté sur des individus initialement novices en matière de pratique méditative, et qui ont suivi des cours de méditation sur une durée de 8 semaines seulement.

Le fonctionnement de l’amygdale modifié

Plus précisément, qu’ont découvert les chercheurs ? Ils ont constaté une modification dans le fonctionnement de l’amygdale, une zone du cerveau associée au traitement des émotions, et plus particulièrement impliquée dans les émotions telles que la peur, l’aversion et l’anxiété.

Pour parvenir à ce résultat, les chercheurs ont formé deux groupes de volontaires, lesquels ont tous deux suivi des cours de méditation pendant huit semaines. Mais alors que les cours suivis par le premier groupe étaient consacrés à une méditation orientée vers le développement de la conscience de soi (appelée “méditation de pleine conscience”, cette technique consiste à se concentrer sur un phénomène physiologique propre, comme sa respiration, en ramenant à chaque fois ses pensées vers la conscience de ce phénomène), les cours suivis par le deuxième groupe étaient plutôt orientés vers l’aptitude à faire émerger le sentiment de compassion pour autrui.

Au terme de ces huit semaines, 12 volontaires au sein de chacun de ces deux groupes ont été exposés à une série de 216 photographies, dont certaines véhiculaient des émotions positives (joie, sérénité, etc.), d’autres des émotions neutres, et d’autres enfin des émotions négatives (souffrance, peur, dégoût, etc.). Pendant le défilement des photographies, l’activité cérébrale des volontaires était analysée via imagerie à résonance magnétique fonctionnelle, une technologie qui permet de cartographier les variations d’activité du cerveau au cours du temps.

Une moindre sensibilité émotionnelle aux stimulations extérieures

Résultat ? Chez les volontaires qui avaient suivi des cours de méditation orientée vers le développement de la conscience de soi (la méditation dite de “pleine conscience”), l’activité de l’amygdale était sensiblement diminuée pour tous les types de photographies, traduisant donc un abaissement de la réponse émotionnelle aux photographies visionnées. D’une certaine manière, les volontaires de ce groupe étaient devenus émotionnellement “moins sensibles” aux stimulations de leur environnement.

Quant aux volontaires qui avaient pratiqué une méditation orientée vers le sentiment de compassion, le résultat a été là aussi un abaissement de l’activité de l’amygdale, mais uniquement pour les photos à contenu émotionnel positif et neutre. En revanche, pour les photos à contenu émotionnel négatif, comme par exemple le visage d’une personne en train de souffrir, les chercheurs ont observé une augmentation de l’activité de l’amygdale. Selon les chercheurs, ce phénomène est la conséquence directe du développement du sentiment de compassion induit par le type spécifique de méditation auquel ils avaient participé.

Si la pérennité des changements cérébraux induits par la méditation, pointés par cette étude, constitue à l’évidence un résultat important, il faut toutefois noter qu’une étude précédente avait déjà trouvé des résultats allant dans cette direction. Cette étude, publiée en janvier 2011 dans la revue Psychiatry Research Neuroimaging, avait déjà montré que la pratique régulière de la méditation avait pour effet de diminuer la quantité de matière grise présente dans l’amygdale (la matière grise est constituée de neurones, en opposition à la matière blanche qui est constituée de fibres nerveuses).

Ces travaux, publiés sous le titre “Mindfulness practice leads to increases in regional brain gray matter density”, avaient également pointé une augmentation de la production de matière grise dans la partie gauche de l’hippocampe, une zone du cerveau connu pour son implication dans les mécanismes de la mémoire, mais aussi dans le développement de la conscience de soi, le sentiment de compassion, et l’introspection.

 

Cuisiner soi même première source de santé assurée

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Aujourd’hui le monde commence à comprendre que l’agroalimentaire est tenu par des hobbies et le pouvoir de l’argent écrase tous les alternatifs qui s’insurgent depuis des dizaines d’années comme le docteur Kousmine ou le docteur Poinsignon ou David Servan Shreiber des personnes que vous devez connaitre. Il ya trop de médecins qu’on éloigne de leur vie professionnel parce qu’ils osent parler et dénoncer les abus des lobbies qui nous à notre santé. Le professeur Joyeux chirurgien cancérologue de Montpellier en fait partie.

Et si au lieu de chercher des groupes pour manifester son mécontentement, nous agissions dans notre vie tout d’abord?

Notre fonctionnement de base est d’avoir de l’argent et ensuite d’être reconnu dans une tribu. Le temps est venu de passe à l’étape d’être bien dans notre corps?

Une cuisine saine et zen

C’est en partageant la vie d’un chéri il y a très longtemps 15 ans que j’ai eu la chance dans une malchance de devenir plus consciente et responsable de ce que je mettais dans ma bouche et mon estomac.

Sa fille avait un problème d’obésité et était pris en charge par un centre nutritionnel pour enfant.
Nous étions convié en tant que parents ou conjoint à venir assister à des conférences sur l’alimentation. Selon les médecins à l’époque, la source du problèmes de l’obésité dans le monde vient de notre surconsommation de sucre, de sel et de graisse. Nous achetons en masse des produits conditionnés, congelés, remplie de conservateurs, de produits chimiques….

Je me souviens d’une fois où les docteurs nous avez incité à lire les étiquettes des produits surgelé ou ceux placés dans les rayons traiteurs comme les salades de carottes par exemple ou les sachets de légumes en ratatouille. C’était effarent. Sucre, graisse sel et autres ajouts conservateurs et autre…

Je me souviens aussi il y a 10 ans de conférences de France Guillain qui disait qu’il y avait un sérieux problème sur la des décomposition des corps humains qui contenants trop de conservateurs, ne se désagrégeait plus. Même après une dizaine d’années en terre notre corps rejetait dans la terre des produits liquides toxiques venu de nos médicaments  mais aussi des pesticides et conservateurs en tous genre que nous avions consommés.

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J’ai changé ma manière de cuisiner en finissant mal digérer les produits laitiers, les protéines animales ou le gl ten.

Je me réjouis aujourd’hui parce que cela veut dire que mon corps me réclame des produits naturels et non modifié génétiquement. Et comme je ne suis pas un petit veau ni une grosse vache;0) et que je ne vis pas de carences alimentaire puisque qu’il n’ y a plus de guerre ou de disette, je n’ai aucun intérêt à consommer des produits laitiers, adulte.

Des produits biologiques

Alors c’est vrai je consomme de plus en plus de produits bio. J’achète chez les paysans locaux dès que je le peux, je ne consomme plus de produit raffinés, je réintroduis les légumineuses à petites doses dans mon alimentation ou les graines germées et je privilégie les legumes et fruits de saisons, la viandes blanches, les poissons quand je suis en bord de mer ou a l’étranger comme a Bali. J’évite de plus en plus de manger dans les restaurant à Paris, je ne consomme plus de gâteaux dans une boulangerie ou des gâteaux d’apéritif de supermarché… Je remplace tous ces substitus par du naturel.

S’entourer d’amis sains

A force d’entendre toutes ces informations, au fil des ans et d’être entourées d’amis végétarien, bio, gourmands et de belles des champs, je me suis remise à cuisiner en changeant petit a petit ma nourriture.
Alors j’ai décidé de partager avec vous mes recette saines et zen.
Avec de bons produits et rapides à préparer.
Je suis une fille de la campagne, j’avais la chance d’avoir des parents qui cultivaient leur légumes et qui avaient sous la main bon nombre de plantes aromatiques (thym, romarin, sauge, sariette fine herbe, persil, menthe…).

J’ai mangé des produits frais et de saisons jusqu’à mes 20 ans avant d’arriver à Paris.

La bonne nouvelle de cuisiner soi-même?

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En faisant à manger soi même, on choisit ses produit et on cuisine ce que l’on aime. Je me souviens de la cuisine de ma mère. Elle cuisinait des plats riches certes, mais c’était gouteux, suaves et parfumés. Elle utilisait des aromates, des épices et beaucoup d’ail d’oignons ou d’échalotes.
Quand on cuisine et qu’on aime manger, on offre aux gens qu’on aime aux palais délicats et gourmands des recette faites avec amour pour le plus grand plaisir des papilles…

Quand on cuisine, on sait ce qu’on met dans nos réfrigérateurs, dans nos casseroles, dans nos assiettes et dans notre ventre. On devient responsable de sa santé. En observant les étiquettes, en gouttant les yeux ouverts les produits tout prêt, on fait la différence. Au bout de quelques semaines seulement, notre corps aussi reconnait un bon produit pour qu’un artificiel à la digestion.

Alors  je commence à partager mes recettes avec vous, parce que depuis 5 ans, je digère en paix ma nourriture à nouveau, comme lorsque j’étais adolescente.

Pour trouver des recettes saines et zen

Cliquez ICI

Allez vous informer:

Le blog du docteur Poinsignon

American Journal of Clinical Nutrition, Vol. 80, No. 5, 1246-1253, November 2004
© 2004 American Society for Clinical Nutrition

La lettre du Professeur Joyeux

Protéines animales, indispensable pour les sportifs?

Voici une vidéo sur l’alimentation cru que j’ai envie de partager avec vous si vous êtes crudivore ou avez envie de tendre vers cette alimentation plus vivante.
Un sportif parle d’une autre alimentation qui diminue la prise de protéines animales.
J’entends dans sa bouche, la même chose que je vis depuis 8 mois:

“Je mange quand j’ai faim.

Je n’ai plus de problème de digestion, de ballonnements.
Quand je déjeune, je ne suis plus fatigué après les repas.”


Burn out : Quand le corps m’oblige à m’arrêter

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  « Un travail sur soi implique un travail sur le corps et un travail sur le corps nous amène naturellement vers un travail sur soi. » Marie-Lore

Cette phrase est mon « light motif ».

En 15 ans de métier durant lesquels j’ai reçu des personnes en face à face qui se questionnait sur leur vie, tous ont la même quête: trouver leur place au milieu des autres, en étant heureux.

Prendre du temps pour soi

Pendant les 5 premières années, en consultations de voyance, le même message:

« Prenez du temps pour vous, reposez vous, prenez du recul ».

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Et d’année en année quand je les retrouvais en rendez-vous, le même problème surgissait  à répétition dans leur vie et toujours ce message en boucle:

« Posez-vous une semaine, un mois seulement.

Stoppez ce rythme et prenez le temps de vous interroger sur vos envie profondes. »

Pourquoi s’arrêter pour avancer, qu’on a décidé de changer de vie? C’est vrai, je me suis posée cette question au début, c’est juste mentalement impossible à réaliser et à intégrer.

Impossible de s’arrêter tout seul pour se poser

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Dans notre rythme effréné, nous sommes comme des automates. Tout est tellement programmé, ficelé à l’avance que si on nous arrache pas de notre programme pour faire une pause, on se fait happer très vite par ce quotidien. C’est notre tête qui gère le stress en se raisonnant et nous freine dans notre évolution à tergiverser au lieu de nous donner le signal d’agir.

Notre mental cogite pour trouver une solution miracle pour le futur. Il examine les différents échappatoires possible, tranche par déduction logique. Il ne se laisse pas d’espace pour  se poser dans le présent  et ressentir la situation.

« Est ce que je me sens bien ou mal dans cette situation ? » ; « Si cela devait durer toute la vie, est ce que je me m’imagine continuer ainsi? »

On s’habitue au mal-être

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Le souci, c’est qu’on ne sent plus rien. On n’est pas présent à ce qui se passe autour de nous.

On réfléchie avec notre tête, on s’est coupé de notre corps. On calcule nos éventuel actes en vue de ce qui pourrait se passé dans le futur ou ce qui aurait du se passer dans le passé. On est à coté de notre vie, pas dedans. On passe à coté de nous et les années passent ainsi.

Quand on raisonne, on n’est pas relié au corps. On est coincé dans notre cerveau. On réfléchie en se confrontant à notre situation financière, sociale, familiale, matérielle, professionnelle future.

On ne raisonne pas par rapport à notre mieux-être maintenant…

Les émotions ne rentrent plus en ligne de compte puisque nous en sommes coupés.

Si je me sens mal au boulot, je dois faire avec. Si je ne suis plus heureuse avec mon conjoint, je lisse pour ne pas faire de vagues et risquer de déstabiliser ma vie si bien construite…

Et mes questionnements continuent :

Que dois-je faire pour être mieux?

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Mon cerveau se met à bouillir… Je ne peux plus rien rajouter parfois. Alors j’oublie mes préoccupations un instant parce que je n’imprime plus, ça ne rentre plus. Il n’y a plus de place dans les tiroirs de mon cerveau. Je me déconnecte encore plus de mon corps. Je deviens un être robotisé… Jusqu’à ce que le corps vienne à mon secours.

Le corps m’oblige à m’arrêter un jour

Je me casse un bras et je suis obligé de m’arrêter. J’attrape une grosse angine blanche, une semaine d’arrêt maladie prescrit par mon médecin, je reste au fond de mon lit quelques jours. Je tombe dans les pommes en allant au boulot et me voici hospitalisée… Médecins… Analyses… Grosses fatigues… Je finis par être arrêté violemment dans ma course quotidienne. Je quitte pour un temps mon rythme d’horloge suisse si bien huilée… Le corps me rappelle à lui.

Enfin, je prends du recul

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Et une fois posée par obligation, comme un sursaut de survie, je prends du recul sur ma vie. Je romps avec cet engrenage qui me coupait de moi, de mes vraies désirs, de ma petite voix intérieure et de mes envies profondes. Mes habitudes ont finis par me rendre transparente à mes propres yeux. Arrêté par ce corps qui souffre, je retrouve les sensations, mes émotions, mes ressentis et je prends des décisions concrètes, j’arrive à passer à l’action pour changer de chemin de vie. J’ai enfin repris possession de mon corps et de mes décisions pour moi.

Réfléchir nous conduit rarement à l’action.

Le corps est un bon allié qu’on oubli dans un coin, qu’on a laissé pour mort un jour, sur le bord du chemin. Il est toujours là. Il attend.

Esprit ou corps?

Réfléchissez à quel moment, avez-vous avancé d’un grand pas dans vos vie:

Après une longue réflexion? Ou après un grand moment de détente ou d’arrêt maladie où tous raisonnements était absents?

Est ce que votre mental vous aide à prendre les meilleures décisions pour vous? Celles qui vous ont rendu heureux?

Esprit ou corps, qui est mon meilleur ami?

Esprit es-tu là?

Quand j’ai besoin de toi?

Retrouver les connections avec nous-mêmes

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Laissez-vous toucher

Mon ex-mari était masseur. Il adorait masser les gens et leur faire du bien, c’était vraiment son truc. Il avait fait fabriquer des tee-shirt où était écrit dans le dos « Laissez-vous toucher » qu’il arborait quand il massait dans des lieux publics.

Je n’ai pas compris l’importance de cette phrase à l’époque. Maintenant j’en comprends tout son sens.

Nous nous sommes déconnecté de notre corps depuis tout petit. Par débordement de nos émotions, par incapacité à gérer la souffrance qu’elles généraient en nous; par pudeur ou par obligation familiale de rentrer dans un cadre éducatif sévère, nous avons perdu la connexion avec nous-mêmes. Nous sommes branchés sur les autres, les problèmes de la société, les peurs de notre cerveau, du monde, de notre voisin mais absolument plus à nous-mêmes. Nous ne réagissons même plus quand nous souffrons. Nous avons perdu le gout de vivre heureux. Nous sommes déconnectés de nos sens. Et nous allons parfois très loin dans le déni de nos émotions avant que le corps ne réagisse et exprime enfin son mal-être.

Ressentir à nouveau les sensations de son corps

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J’ai appris grâce au Reiki à ressentir à nouveaux mon cœur, mon corps, des sensations agréables et désagréables que je ne sentais même plus. Je m’habituais à avoir mal au dos, je laissais mon foie se plaindre et j’avais oublié la saveur plaisante de certains aliments.

J’ai encore peur de la caresse sur la joue et je me sauve dès que je vois une main arrivée sur mon visage. Mais je change intérieurement d’une manière très agréable petit à petit. Je peux m’estimer chanceuse, avec ce sixième sens que j’ai reçu en don, j’étais obligée de revenir à mes sens en grandissant.

Le reiki a été le premier pas vers la redécouverte de mes sens. L’acupuncture, le shiatsu, la réflexologie, les massages, la relaxation, écouter mon intuition, aller au hammam ou ou sauna ont accentué et amplifié ce besoin vital de ressentir la vie à travers moi. Les différentes techniques reçues séparément ou parallèlement m’ont bien aidée. Ce n’était pas gagné, j’avais l’impression souvent qu’il ne se passait rien. J’ai abandonné parfois mon corps.

Ce sont tous ces messages en voyance sur le besoin de s’occuper de son corps qui m’ont fait persister et mettre de la constance petit à petit dans la prise en main de mon être tout entier, intérieurement et extérieurement.

Un soin du corps n’est pas simplement un soin de beauté ou de bien-être, c’est aussi une pratique préventive qui stimule les énergies du corps et notre capacité d’auto-guérison.

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Quand nous ressentons à nouveau nos émotions, cela nous aide à nous rebrancher à nos émotions positives. Quand nous ressentons à nouveaux nos émotions, positives ou négatives, nous avons une plus grande liberté d’agir en tant qu’adulte.

«Qu’est ce que je choisis de vivre comme expérience ? J’ai le choix de l’arrêter si elle ne me convient pas.

J’ai la possibilité de changer d’expérience.

Je ne suis pas obligé de me soumettre à la demande des grands quand je ne suis pas bien comme quand j’étais enfant.

Je peux décidé adulte de vivre autre chose, autrement. »

Touchez votre corps, laissez-vous toucher, vous allez renaître petit à petit, ressentir la vie autour de vous à travers votre corps et devenir vraiment maître de vos décisions et choix de vie.

Être créateur conscient de votre vie, un beau programme, non?

Mathieu Gallant, un philosophe alimentaire qui nourit le coeur et l’âme

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Voici deux vidéos qui m’ont énormément touchées. Vous allez entendre parler de l’alimentation crue, certes, mais surtout vous allez écouter Mathieu Gallant.

Sa vision du monde est tellement simple, vrai, de bon sens que avant de poster des vidéos  qui vante l’alimentation cru, j’ai préféré mettre ces deux premières vidéos de Mathieu parce qu’il parle de l’importance de la reconnexion avec son ressenti. C’est mon cheval de bataille :o), c’est vrai, mais cela change tellement toute notre vie et notre regard sur le monde.

La vie n’évoluera que parce que nous allons accepter de nous ouvrir à notre ressenti. Nous allons ouvrir nos yeux et notre cœur sur la réalité et la magie de la vie.

Écoutez-le je suis sur que cela va vous éclatez!

Ressentez les choses dans votre corps pour retrouver votre pouvoir.

Il fait enfin le lien entre l’alimentation et les émotions… La mauvaise alimentation nous débranche de nos émotions en nous rendant acide, physiquement.

J’aimerai avoir son élocution… En attendant qu’il vienne faire des conférences en France pour échanger avec nous, voici ces deux vidéos que j’ai découvertes en janvier. Je ne les avais pas visionnées depuis 2 ou 3 mois. Moi qui suis crudivore à 80% depuis 8 mois, j’avoue que je vis encore plus tout ce qu’il raconte sur le lâcher prise sur mon pouvoir de consommatrice, ou plutôt sur celui que je donnais à la société.

20 minutes de bonheur, de mots vrais, d’honnêteté et de bon sens.

Reconnectons nous à notre ressenti, il n’y a que cela de vrai…

Notre corps est composé de ce que nous avons mangé ces 7 dernières années. A méditer…

Son site http://geosophie.com/

“Je sens donc je suis” Mathieu Gallant